Et, oui, le pilote existe toujours, même en « driverless ».
« driverless » est une terminologie impropre, qui comme tu l’as compris, rend confus le propos.
Derrière se cachent un ensemble de protocole réseaux, et de communication d’impression dont le but est de faciliter l’usage pour l’utilisateur final, sur les périphériques compatibles.
Si le périphérique n’est pas compatible, rien à faire, ce sera impossible de communiquer par ces biais.
Mais rien n’empêche d’essayer de communiquer avec certains périphériques, s’ils sont sur le réseau informatique, et s’ils répondent aussi à certains protocoles de communications d’impression, tel lpd (à préférer en premier), ou ipp.
cf mon post plus haut à ce propos.
Concernant le fichier PPD : parfois, il peut être utile si tu n’as plus l’exact fichier PPD, qui cible ton imprimante, d’utiliser celui d’une version d’imprimante de même catégorie, et au pire, d’utiliser le PPD générique.
Exemple : pendant un temps, mes imprimantes MFP de marque Epson, pour les utiliser, j’utilisais le PPD de version déjà reconnue officiellement, de même gamme, mais dont la dénomination « sur le papier » ne correspondait pas officiellement. J’ai toujours ainsi pu imprimé, sans utiliser, le PPD générique.
Exemple :
- utiliser le PPD d’une BX supérieure en gamme à ma feu BX525WD.
- utiliser le PPD de l’ET-4700, ou de la ET-3500… pour l’ET 3700 !