Vous reprendrez un peu de data et de localisation?

Non, d’ailleurs. C’est surtout que contrairement au geignard comploto-pétaniste qui a lancé le fil, je suis directement concerné. J’habite dans un hameau où nous étions 5 foyers (distants les uns-des autres de 50 à 100 m environ) à partager la même adresse, ce qui n’était pas un problème pour le facteur qui nous connaît, mais l’était davantage pour les livreurs et surtout pour les pompiers. Le jour où ma jeune voisine devra se faire emmener à la maternité, ou les plus âgés (dont moi) appelleront en urgence pour un AVC ou un infarctus etc. on sera bien content que les pompiers ne soient pas obligés de faire du porte à porte pour trouver la bonne personne.

1 J'aime

Tu n’avais effectivement pas à lire l’article, tu le vit au quotidien (mes parents était dans le meme cas

Tout à fait. Le seul problème réside dans l’application par certaines municipalités. La mienne l’a très bien faite, en respectant l’onomastique locale. D’autres ont inventés des noms style « rue des camélias » alors qu’un nom local ( « penn ar lan » « coat bihan » etc.) existait.

J’ai participé à une opération de RIVOLISATION ( Rue-VOie-LIeux-dits ) en 1994 à France-Télécom qui fixait déjà des noms de rue, des noms de voies, des numéros dans les rues et les voies et si exceptionnellement ce n’était possible on rattachait les abonnés à un lieu-dit, ceci pour les adresses vagues ou fausses dont seul le facteur et les voisins pouvaient donner le lieu exact. Je ne me rappelle plus du seuil en nombre d’habitants ou même si il y en avait un pour déclencher cette opération.
Il y en avait 50 000 à rectifier ou à préciser dans toute les Bouches du Rhône.

En première étape de ce boulot, moi et un collègue nous devions contacter les personnes pour leur demander de préciser leur adresse.

Certaines personnes que j’ai eu au bout du fil ne voulaient pas que les adresses soient plus précises, c’était toujours des hommes qui disaient : « On se connaît, si quelqu’un a besoin d’aller ou de livrer une personne, tout le monde ici pourra la renseigner. », j’avais l’impression au ton de la voix de ces interlocuteurs que c’était un peu machiste et clanique comme état d’esprit si je voyais la chose de manière négative ou bien d’état d’esprit de solidarité communautaire si je voyais la chose de manière positive, mais ils étaient moins nombreux que ceux qui appréciait la future augmentation de précision des adresses.

Par contre je ne vois pas le lien avec les injections à ARN messager que j’ai refusé ayant une maladie génétique rare. Mon néphrologue à qui j’avais posé la question de l’efficacité des ARN interférents pour me restaurer un meilleur état de santé, m’avait dit que les technologies à ARN n’étaient pas au point. Et voilà-t-il-pas que quelques mois après débarque tout un cinéma sur la technologie des ARN messagers !

Hmm, on a pas intérêt à se croiser.
Tu ne connais ni ma vie, ni ma localisation grand.
Les seules balles que tu as entendu siffler sont des balles de tennis comme disait Robert André-Vivien à des moralistes de ton espèce.

Les pompiers connaissent très bien les lieux dits dans les pays.
C’est connu des gens qui y habitent.

Ils connaissent les gens pas les lieux dit. Pour avoir déjà eu des pompiers demander où se trouvait une personne qu’ils n’arrivaient pas à localiser.

Tout à fait. Dans mon coin il y a une caserne de pompiers pour 300 km² et 18 000 habitants. Impossible de connaître tous les hameaux et où habite qui.
La réponse du geignard qui menace physiquement bien caché derrière son clavier, c’est vraiment « comment dire que l’on y connaît rien sans dire que l’on y connaît rien ».

Impatient de savoir le point de vue des domestiqués.

1 J'aime

Si ton commentaire fait référence à l’article, il faut alors que tu fasse attention aux terminaisons.

1 J'aime