Qui est : on sous-finance les services publics, on traite les gens qui y bossent comme de la merde, et après les mêmes qui ont décidé ça viennent dire que les services publics font de la merde, que les fonctionnaires sont plus faciles à corrompre et que ceux qui ne le sont pas se barrent (ou ne viennent pas).
Et la volonté derrière est de privatiser les services public , pour en faire des agences dont la direction sera bien sur confié aux haut-fonctionnaires qui auront volontairement contribué à cette destruction des services publics (il faut bien rentabiliser le pantouflage).
Je rajouterai qu’il ne faut pas oublier que l’état a aider financièrement en 2023 et 2024 ces amis les entreprises du CAC40 a hauteur de 200 milliard d’euros d’aide et les a alléger de 100 milliard d’euros d’impôts = 300 milliards et l’état doit maintenant faire des économies qu’il va réaliser en supprimant des poste et des investissements dans les hôpitaux, écoles et autres services publics… etc. Biens sur les 9 milliardaires qui détienne tous les médias français influence le peuple pour faire tous ce qu’il décidé en france et camoufle toutes les saloperies qu’ils font a travers le monde, même les chaîne publique sont muselé par nos politiques qui les dirige car leurs campagnes étant financer par les mêmes milliardaires qui ont créer une dictature faite par eux et camouflé sous une démocratie fictive. Après c’est normale qu’on sorte pas de cette merde vue que tous les problèmes vienne des ultra riches qui dirige et manipule tous, leur technique marche dans tous les pays capitaliste, communiste … en gros toute la planète parce que la technique est la même peut importe le système, il faut bien divisé le peuple pour éviter qu’il se révolte et c’a il l’ont bien comprit(c’est tellement facile de divisé pour cela il y a les pauvres qu’on aide trop, l’immigration, les aides …etc, les gueux sont occupé avec ça, il n’ont pas le regard ciblé sur les ultra riches qui pille et triches dans le système et se goinfre comme des malades et ruine le pays). Donc tous ce qui est écrit dans ce post n’est que la conséquence de ce que je viens d’expliquer. Ça fait 2000 ans que c’est comme ça pourquoi ça changerai remarque Après tous si il sont riches c’est bien grâce a tous cela, dans profiteurs il y a profits vous aviez remarqué ?
En fait ça porte un nom: le Capitalisme
Tttttt… Sois complet, ça s’appelle le capitalisme de connivence, qui n’a rien à voir avec le libéralisme de Bastiat, mais juste avec le socialisme de Benito.
Le libéralisme de Bastiat est une chimère, tu n’empêcheras pas quelqu’un de favoriser sa classe sociale dans une société capitaliste. Quant au prétendu socialisme de Benito, il était surtout capitaliste de connivence.
On s’en fout de couper les cheveux en quatre; quel qu’il soit le capitalisme reste du capitalisme, donc pour l’ouvrier du coin aucun ne change sa situation.
Il n’y en a pas mais l’utopie libérale et sa pratique actuelle ne donnent vraiment pas envie.
System V
Je pense que le système idéal ne peut pas exister au regard de la complexité du problème.
Mais il y a moyen de faire mieux que ce qui existe actuellement ça c’est certain.
ce n’est pas une utopie mais un cauchemar doublé d’un mensonge
L’éternelle question du bien et du mal.
Il y aura toujours des dominants, des dominés, des soumis, des résistants, et quel que soit le système, des perversions.
«Le rôle de la loi, c’est de protéger les faibles contre les forts»
Père Lacordère, pas franchement un gauchiste!
Le choix d’une société se fait en partie sur les valeurs et les règles de vie commune en fonction de ses choix et ses choix sont les conséquences de rapports de force, de domination.
Pour ma part, il parait que c’est d’extrème gauche gauchiste, — plus à la mode, voir méprisé, ringard… j’assume — mon choix hérité des lumières est celui de la justice.
Dans ce cas l’état doit mettre sa puissance au service de cette justice:
- république, le bien commun, seul bien des plus faibles
- démocratie, égalité des droits et notamment d’expression, d’opinion et de décision dans le domaine collectif (celui du bien public)
- protection de chacun contre les abus des plus forts, qu’une loi identique vise à atteindre.
Mais avec «du pain et des jeux», on ne développe pas les vertus républicaines qui demande éducation, instruction, et courage, bref de comprendre et partager ce désir de justice.
C’est avec ce principe de gouvernement que l’empire Romain déjà enflée au delà de sa mesure (comme l’est le capitalisme actuel) a précipité sa chute.
Les premiers chrétiens étaient une sorte de résistants, d’autant plus exemplaires qu’ils ont été persécutés,
— jusqu’à ce que cette religion serve de nouveau à dominer. Les religions c’est vachement efficace pour vaincre le système des pains et des jeux, au moins ça a du sens, ça fait réver (les uns, cauchemarder les autres…)—
Tout le contraire de l’individualisme égoïste ou sectaire, qui, laissant supposer qu’il défend les libertés les détruit.
L’espoir réside dans des minorités courageuses, instruites et d’une résistance obstinée.
J’imagine aujourd’hui qu’à l’idée de justice sociale, celle de la fin du saccage de la planète par les pratiques actuelles (qui? comment? et pourquoi? l’utilisation irraisonnée, démesurée de la puissance industrielle)
Je suis extrêmement pessimiste car le pouvoir rend fou, et ces fous-la, ceux qui ont des moyens, ne sont jamais considérés comme tels et donc jamais soignés.
Ce sont eux qui font ou plus souvent défont les lois et, comme tous les dictateurs (ceux du CAC 40 comme ceux qu’on pointe plus facilement du doigt), ils n’ont de pouvoir que par la complicité volontaire ou imposée des peuples, des consommateurs avides ou jaloux, qui ont remplacé les citoyens responsables.
Pour arrêter les excès du capitalisme, certes les puissants ont une responsabilité évidente, et il est essentiel de les éduquer, mais tous ceux — et j’en suis probablement, donc je ne condamne pas ces faiblesses, — tous ceux qui vivent au dessus des moyens que la planète peut offrir à tous et durablement sont également responsables.
C’est le premier principe que j’attribue à chaque humain: chacun a sa part de responsabilité.
Quand à lui opposer un soi-disant communisme exactement composé des mêmes dominants et des mêmes dominés, de notre point de vue occidental il est facile de préférer égoïstement notre «libéralisme économique» qui n’a pas grand chose à voir avec la liberté. Celle-ci a été voulue par nos prédécesseurs, qui avaient compris qu’elle n’est rien sans l’égalité des droits (et donc de la justice) et surtout, méprisée par nos contemporains toujours fiers de payer moins d’impots, la fraternité , c’est à dire autant la solidarité que l’hospitalité.
Je sens arriver là la polémique…
Même pas, le libéralisme est un mensonge qui se base sur deux dogmes:
- la croissance infinie
- L’autorégulation du marché
Aucun des deux n’existe ni n’a jamais existé. on pourrait y rajouter un peu d’hypocrisie libérale: - La concurrence loyale
Sauf que c’est faux. La loi c’est un ensemble de règle permettant de vivre en groupe. C’est juste un même chrétien qui a bien fait rire les puissants (soutenus par l’église) pendant plus de 1000 ans.
Car si la loi devait défendre le faible du fort, alors la loi définirait ce qui est fort de ce qui est faible. Hors ce n’est pas le cas dans aucune loi (sur toute la planète).
Il n’y a pas vraiment de choix mais plutôt des compromis dans le meilleurs des cas. Mais les lois sont en lien avec les valeurs du groupe social dans lesquelles celles-ci sont définies.
Quand à la justice c’est ce qui permet de sanctionner le non respect de la loi, elle ne la définie pas.
Qui dit loi n’implique pas démocratie. et qui dit droits ne dit pas lois et inversement. Et qui dit lois ne dit pas égalité. Et j’ajouterais qui dit égalité ne dit pas équité. L’égalité n’est pas toujours souhaitable, l’équité oui.
Qu’est-ce que les vertus républicaines? Pour ce qui est d’une république, je renvoie à la définition de Wikipédia qui est plutôt juste:
La république est un mode d'organisation d'un pays dans lequel le pouvoir est exercé par la population ou ses représentants, généralement élus, et où le chef d'État (s'il existe) n'est pas héréditaire et n'est pas le seul à détenir le pouvoir. Une république est le contraire d'une monarchie héréditaire, mais n'est pas toujours synonyme de démocratie.
Exemple: La république populaire de Chine, dont on ne peut pas dire qu’elle soit démocratique justement.
Les premiers chrétiens n’étaient en rien des résistants, ils étaient d’abord une secte juive. Et les chrétiens, dans l’histoire des 3 premiers siècles, ont bien plus persécutés les autres qu’ils ne l’ont été. Et je ne parle pas des siècles suivant où cela est devenu encore pire et sur tous les continents.
les religions ont toujours servi à dominer, en tout cas pour ce qui est des 3 religions monothéistes. Et aucune religion n’a défendu la liberté car par essence, une religion est anti-libertaire. L’extermination systématique des apostats en est une preuve assez exemplaire sans parler des hérétique, non croyants incroyants etc… Valable dans toutes les religions; une religion c’est l’exemple de ce qu’est intolérance.
Les congés payés sont venu par les ouvriers dans les années 30, population qui, avec les agriculteurs, était justement la moins instruite.
Les citoyens responsable, en tant qu’ensemble social, n’existent pas Mais il y a des individus responsables.
Le capitalisme n’est pas un excès. Il suffit de suivre la juste logique du capitalisme; ce qu’on considère comme des excès ne sont là que pour justifier l’utilité du capitalisme qui n’en a en réalité aucun (sauf pour ceux qui en profitent): Le capitalisme, c’est bien, ce sont ses excès qui sont mauvais;
ça c’est du vent pour nous vendre quelque chose qui n’a toujours fait qu’exploiter les peuples, détruit la planète et créé les guerres. Sans capitalisme il n’y a quasiment plus aucune guerre.
Tu confonds, comme la plupart des gens, la définition et ce qu’on en a fait. L’URSS n’a jamais vraiment été communiste, encore moins la Chine d’ailleurs.
Le communisme a eu un certain nombre d’écrit et de pensées, liées à leur siècle et l’environnement social de l’époque. La grande victoire du capitalisme c’est d’avoir détruit toute forme de pensée autour du communisme, du socialisme et de l’anarchie.
le capitalisme a justement fait en sorte que le communisme/socialisme/anarchie n’ai jamais pu exister en les détruisant systématiquement avec la plus grande violence et plus terrible atrocités; la Commune de Paris en a été en France un grand exemple.
Liberal n’est pas un synonyme de Liberté.
Le libéralisme n’a que faire d’une quelconque égalité de quoi que ce soit; déjà parce que le libéralisme refuse justement les lois car pour lui c’est une entrave au libéralisme justement. C’est un fondement de la pensée libérale: pas de régulation, ce qui implique pas de lois.
La justice et l’égalité des droits n’ont rien à voir; le premier n’implique pas le second. Et le second n’a jamais existé.
Quand à la fraternité, comme le mot l’indique, c’est le frère. Tu ne gouverne pas avec une fraternité, ne serait-ce que sémantiquement il manque la sœur qui ne fait jamais partie de la fraternité
C’est normal, le capitalisme c’est le patriarcat, et dans le patriarcat, la femme n’est la que pour le plaisir de l’homme et rien d’autre.
En fait non, il ne peut y avoir d’égalité de responsabilité car il n’y a pas égalité de moyens, qu’ils soient intellectuels, sociaux, culturels et bien sur économiques.
C’est pour ça que c’est difficile aujourd’hui de se débarrasser du capitalisme.
Non.
Cela dépend si la société est organisée hiérarchiquement ou non et toutes les sociétés n’ont pas été organisées hiérarchiquement, y compris des sociétés qui ne se sont pas limitées à 150 têtes de pipe.
Elle est où celle là ? Je vois pas mal d’étatisme, socialiste par essence, mais où y aurait il du libéralisme depuis le XXIe siècle ?
@Zargos le passé que tu semble conchier a fait que tu es là
non seule la génétique a fait que je sois là
Évites d’écrire n’importe quoi tout de même, et le cas échéant va te toucher sur un autre fil?
pas d’accord, mais les conventions peuvent changer (Le parti «les républicains» est plutôt de ceux qui privatisent l’espace publique, le bien publique et les services publics, — lorsqu’il ne sont pas déficitaires, et ne laisse au public que les branches déficitaires dissociées artificiellement —
Démocratie = pouvoir par le peuple (démos: le peuple, cratos: la domination - grec-)
Republique = le bien, l’espace et les services publics (Res: le bien, l’objet, la chose, publica: le public, le peuple -latin-
Mais, tout comme le «libéralisme» économique n’est que la liberté du renard dans le poulailler, loin de l’idée équitable de liberté politique, par définition partagée, [je ne prétends pas qu’elle l’est, je dit ce qu’elle prétend être, ce que le mot signifie]
Inverser les concepts c’est «mal nommer les choses» et «aggraver les malheurs du monde»… du monde malheureux évidemment.
Dans l’ensemble je ne suis pas en désaccord avec ce que vous décrivez, un état du monde. Ce que je tente de dire, c’est que nous avons tous le choix, même s’il exige parfois beaucoup d’abnégations, de renoncements, de sacrifices, de risques, bref de courage, nous sommes humains, adultes donc responsables.
Seulement il y faut de la conscience, de la connaissance, donc de l’éducation et de l’instruction, comme apprendre à différencier passions et raison, sans renoncer à aucun de ces impératifs humains.
Et ce n’est pas en cherchant en soi son identité qu’on la trouve, mais dans le regard des autres (regard au sens trés élargi, métaphorique), ce que l’individualisme néglige.
Si on veut assumer son individualisme, il faut être à la fois hédoniste et généreux pour échapper à ces pièges. En outre cela implique une forte responsabilité.
La question de l’ «IA» si mal nommée reste bien celle d’un outil, c’est à dire d’un nouveau pouvoir. Qui s’en empare et pour quoi faire, et comment l’éducation semble être de plus en plus élitiste (de moins en moins républicaine (accessible à tous), de moins en moins démocratique (utilisable par tous).
Bref la menace est la concentration des pouvoirs dans des oligarchies que les outils favorisent de plus en plus.
Le capitalisme a beaucoup d’avance en ce domaine où la machine domine la plupart des humains, par exemple avec la spéculation boursière en millisecondes, qui fait évidemment fi de tous les problèmes humains et écologiques qu’elle génère.
Les humains ne changent pas, mais leur pouvoir dispose de moyens de plus en plus démesurés.
ça pue le wokisme là dedans
Le wokisme, qu’est-ce que c’est? (à part une mauvaise odeur…)
Il me semble que c’est l’amalgame de tout une série d’idées ou de comportements qui n’ont que peu à voir les unes avec les autres, même si toutes sont criticables.
Seule 2 composantes les relient: la définition de ceux qui les amalgames, et le fait qu’ils sont des phénomènes d’un monde en pleine mutation.
Ce qui me laisse supposer (mais je suis très ignorant de ces faux problèmes qui ne concernent que la vie privée ou la liberté d’expression et d’opinion, et donc ne m’intéressent pas) que ce terme est utilisé par ceux qui ont peur du changement, qui est pourtant le propre de la vie.
Cependant, ce qui m’intéresse et m’inquiète, c’est de voir tant d’adolescents et d’adolescentes en perdition, en perte de repères, (d’heureux pères? il n’y a plus que des «papas»…) parce qu’on ne leur à pas appris à être adultes, responsables, et qu’on leur a laisser croire que l’identité se trouve en soi-même, sans les autres, ancêtres et contemporains.
La rigidification et la violence qui l’accompagne inexorablement sont à la fois les symptomes et le moteur de cette désintégration du monde ancien déjà disparu.
Il me semble que ce terme de wokisme est un leurre de plus pour cacher les mauvais sentiments au lieu de chercher les causes et les réponses aux problèmes divers, différents et qui ne peuvent se résoudre sans être objectivement posés, cas par cas, question par question.
L’exemple de l’homosexualité masculine, le plus simple est le mieux connu: il n’y a pas qu’une seule sorte d’homosexualité, mais j’en ai au moins repéré 3 ou 4 qui ont trés peu de points communs. Et parmi ces personnes plus ou moins marginales, j’en ai rencontré de très dignes et d’autres nettement moins fréquentables à mon goût, tous comme parmi les femmes homo ou hétéro et les hommes hétéro, encore très majoritaires (encore que les homophobes souvent machistes auraient beaucoup à gagner à analyser leur propre sexualité). Pour ma part je ne vois pas en quoi ils me dérangeraient; au contraire, ça fait des concurrents en moins auprès des femmes, que j’ai tendance à préférer.
Et chaque élément amalgamé sous le terme valise de wokisme devrait être étudier et critiquer pour ce qu’il est, et poser les questions qui lui sont singulières.
Il est vrai que je n’ai certainement pas compris ce que «Ça» veut dire…
L’IA serait elle wokiste ou antiwokiste?