Comme je le souçonnais, tu as confondu l’UUID et le PARTUUID de la partition système EFI (actuellement /dev/sdb1 mais ça peut changer en /dev/sda1 par exemple, c’est pourquoi on s’embête à utiliser des UUID).
Tu prends [mono]UUID=DA12-A664[/mono] ou [mono]PARTUUID=984a7602-13e9-42cd-8b48-1ddc7662d3f7[/mono] mais pas un mélange des deux. J’avais écrit un UUID de la forme XXXX-XXXX comme doit avoir celui d’un système de fichiers FAT pour que tu le reconnaisses plus facilement, mais c’est raté.
On aurait pu utiliser aussi un label (LABEL= ou PARTLABEL=) qui est plus parlant mais moins unique qu’un UUID, surtout avec cette partition système EFI.
Pour information, UUID= désigne l’identifiant unique du contenu de la partition (système de fichiers, swap, LVM, RAID, LUKS…) alors que PARTUUID= désigne l’identifiant unique de la partition elle-même, indépendamment de son contenu. A titre d’exemple, si on reformate une partition l’UUID change mais le PARTUUID reste le même. Inversement si on clone bit à bit le contenu d’une partition dans une autre, la partition de destination aura le même UUID que la partition d’origine mais un PARTUUID différent.
Après avoir corrigé le fichier fstab, tu peux vérifier immédiatement sans rebooter avec
S’il n’y a pas d’erreur et /boot/efi contient un répertoire EFI avec des sous-répertoires Microsoft et debian, c’est bon.
Ensuite, installation de grub-efi-amd64 (il va y avoir une erreur à la fin disant que les services EFI ne sont pas disponibles, normal), reboot en mode UEFI et exécution de [mono]update-grub[/mono] si tout se passe bien pour réintégrer Windows dans le menu de démarrage.