De la complexité ? Par exemple pour indiquer un périphérique bloc dans un fichier /etc/fstab
que préférez-vous
- une syntaxe UUID=xxxxxxxxxxxx impossible à vérifier et à copier/coller
- la syntaxe /dev/system_vg/root_lv
?
Exemple sur un portable SSD + HD
fp2@debpacha:~$ df -hTx tmpfs
Sys. de fichiers Type Taille Utilisé Dispo Uti% Monté sur
udev devtmpfs 3,9G 0 3,9G 0% /dev
/dev/mapper/pacha_vg-root_lv ext4 7,9G 4,8G 2,7G 64% /
/dev/sda1 ext4 2,0G 71M 1,8G 4% /boot
/dev/mapper/pacha_vg-home_lv ext4 24G 16G 7,5G 68% /home
/dev/mapper/pacha_vg-data_lv ext4 125G 23G 100G 19% /data
/dev/mapper/pacha_vg-tmp_lv xfs 8,0G 41M 8,0G 1% /tmp
/dev/mapper/pacha_vg-var_lv xfs 4,0G 1,5G 2,6G 36% /var
fp2@debpacha:~$
p2@debpacha:~$ sudo lvs
LV VG Attr LSize Pool Origin Data% Meta% Move Log Cpy%Sync Convert
data_lv pacha_vg -wi-ao---- 128,00g
home_lv pacha_vg -wi-ao---- 24,00g
root_lv pacha_vg -wi-ao---- 8,00g
swap_lv pacha_vg -wi-ao---- 12,00g
tmp_lv pacha_vg -wi-ao---- 8,00g
var_lv pacha_vg -wi-ao---- 4,00g
fp2@debpacha:~$ sudo vgs
VG #PV #LV #SN Attr VSize VFree
pacha_vg 2 6 0 wz--n- 1,02t 857,30g
fp2@debpacha:~$
fp2@debpacha:~$ lsblk --fs
NAME FSTYPE LABEL UUID MOUNTPOINT
sda
├─sda1 ext4 6b25f8fd-780e-4be5-bcf4-e121061b3b60 /boot
└─sda2 LVM2_me IZy2Ju-Kq9m-y9iV-0deL-Ok2o-9nZ6-eGtWPb
├─pacha_vg-root_lv
│ ext4 67e535bd-7023-402f-b7e2-a35007ddc67f /
└─pacha_vg-home_lv
ext4 a0d11380-2b29-4d51-b9d6-0d93f3815797 /home
sdb LVM2_me EuVnyy-3k2u-Wba1-ZTOi-0uBn-wpcw-rkorHe
├─pacha_vg-swap_lv swap 1ed56409-46c1-4fba-a37c-ae228c59b757 [SWAP]
├─pacha_vg-var_lv xfs 693aac9f-e76c-4b5b-a70b-3453fd0bdac0 /var
├─pacha_vg-data_lv ext4 d24cc500-1d40-41f0-8013-8628f64ae559 /data
└─pacha_vg-tmp_lv xfs 8bff53ea-f5ed-44ef-b5d2-dbd47e0bfe5b /tmp
sr0
le fichier fstab
#
# <file system> <mount point> <type> <options> <dump> <pass>
/dev/mapper/pacha_vg-root_lv / ext4 errors=remount-ro 0 1
# /boot was on /dev/sda1 during installation
UUID=6b25f8fd-780e-4be5-bcf4-e121061b3b60 /boot ext4 defaults 0 2
/dev/mapper/pacha_vg-data_lv /data ext4 defaults 0 2
/dev/mapper/pacha_vg-home_lv /home ext4 defaults 0 2
/dev/mapper/pacha_vg-tmp_lv /tmp xfs defaults 0 0
/dev/mapper/pacha_vg-var_lv /var xfs defaults 0 0
/dev/mapper/pacha_vg-swap_lv none swap sw 0 0
/dev/sr0 /media/cdrom0 udf,iso9660 user,noauto 0 0
fp2@debpacha:~$
La bonne méthode pour installer Debian
- avec les références de la machine, déterminer si des modules noyau non libres sont nécessaires.
- copier sur un support pour amorcer (clé USB, …) une iso netinst
- mettre le support créé sur la machine (salle bruyante et inconfortable) et amorcer
- au premier menu : choisir le mode expert (mode texte)
- dans les
udeb
supplémentaire inclure les modules qui permettent de continuer l’installation à distance via ssh
ne pas charger le support des périphériques Braille.
- Quand le réseau est configuré, l’installateur Debian propose de continuer la procédure via ssh (et indique les paramètres ssh à utiliser.
- depuis un poste distant, dans un environnement confortable poursuivre l’installation. On retrouve ses notes qu’on a préparées à l’avance. On peut ouvrir deux fenêtres
ssh
et ouvrir un shell dans la deuxième.
- pour le partitionnement du/des disque(s) toujours utiliser un partitionnement manuel.
Basculer dans l’autre console pour voir la progression et éventuellement interagir.
- pour un serveur, une installation minimale + serveur SSH est suffisante pour commencer.
De toute façon, un système Debian ne s’installe qu’une fois, donc autant prendre son temps et planifier par avance l’opération.
Cordialement,
Regards,
Mit freundlichen Grüßen,
مع تحياتي الخالصة
F. Petitjean
Ingénieur civil du Génie Maritime.
« Ubuntu is an ancient african word, meaning “I can’t configure Debian” »
– http://www.urbandictionary.com/define.php?term=ubuntu