Il me semble que texlive installé dans /usr/local/texlive comme recommandé n’interfère pas du tout avec le système.
Le seul lien consiste à ajouter 3 adresses dans PATH, INFOPATH, MANPATH et créer la variableTEXMFHOME:
PATH="/usr/local/texlive/2023/bin/x86_64-linux:${PATH}"
export PATH
## Création de 2 variables PATH invisibles du shell.
INFOPATH="/usr/local/texlive/2023/texmf-dist/doc/info:${INFOPATH}"
export INFOPATH
MANPATH="/usr/local/texlive/2023/texmf-dist/doc/man:${MANPATH}"
export MANPATH
TEXMFHOME="/usr/local/texlive/eric/" #hors de propos d'après install-tl
export TEXMFHOME
Les mises à jour quasi quotidiennes se font avec la commande tlmg update --all qui ne communique qu’avec cette arborescence.
Chaque changement de version (annuelle) nécessite le remplacement total de l’arborescence, en respectant la branche locale de personnalisation.
Il n’y a aucune utilisation des outils Debian (apt, dpkg), rien qu’un téléchargement dans /usr/local que je crois fait pour ça.
Éternel béotien en matière système, peut-être que je me trompe.
Pourquoi cette installation parallèle?
Le problème que je n’ai pas su résoudre autrement avec les paquets Debian, c’est l’impossibilité de mettre texlive à jour (avec tlmgr), puisque les mises à jour de Debian ne le font que lors des changements de version stable.
@Clochette
je n’installe jamais texlive sous root, et ne modifie donc que ~/.bahrc de l’utilisateur.
/usr/local est accessible à l’utilisateur (je ne me souviens pas si c’est la norme Debian ou si c’est moi qui ait autrefois modifié les permissions. Aujourd’hui, j’en serais peut-être incapable (la vieillesse est un lent mais inexorable naufrage…)