Qu’est-ce que tu aurais dit, toi, en constatant que depuis cette migration j’ai systématiquement l’icône du haut-parleur barrée (= mode sourdine) en bas à droite, chose que je n’ai jamais vue auparavant, ou que des choses que j’avais désactivées/désinstallées se retrouvent présentes et actives ?
Ou mieux (ou pire), en tentant de désinstaller at-spi2-core, le système de dépendances me dit qu’il va me virer ghex, mon éditeur préféré en mode hexa, et en tentant de désinstaller une des librairies de atspi, le système veut me virer mon navigateur, mon geany adoré et tout un tas d’autres choses du système, donc non, je suis obligé d’abandonner et je vais conserver ce truc inutile jusqu’à ce que mort s’en suive.
À contrario, dans ma vieille machine Debian 7, si je demande d’installer at-spi, ça ne me propose de rajouter que deux librairies et basta.
Bien obligé de dire que « c’était mieux avant ».
Vu, ça donne ça (viré des lignes inutiles ici) :
● exim4.service - LSB: exim Mail Transport Agent
Loaded: loaded (/etc/init.d/exim4; generated)
Active: active (running) since Tue 2022-01-11 09:29:05 CET; 52s ago
Process: 883 ExecStart=/etc/init.d/exim4 start (code=exited, status=0/SUCCESS)
CGroup: /system.slice/exim4.service
└─1394 /usr/sbin/exim4 -bd -q30m
Et pour éviter qu’il ne démarre (je n’en ai pas l’utilité), je cherche la ligne ExecStart=... dans ??? et je la mets en commentaires ?
Bonne nouvelle, mais j’ai un peu peur que ça rajoute de la complexité à ce sac de nœuds, par exemple, pour désactiver wpa_supplicant dont je n’ai pas l’usage, je ne sais pas quoi faire :
j’envisage de commenter la ligne ExecStart dans son /etc/systemd/system/multi-user.target.wants/wpa_supplicant.service trouvé grâce à locate wpa_supplicant.service, le drame pour moi c’est que locate exim4.service ne remonte rien.
Comment faire alors pour désactiver proprement le démarrage d’exim4 ?
Après reboot, ma manip avec wpa_supplicant est payante, si on ne regarde pas les logs,
$ dmesg | grep wpa_supplicant
[ 5.474601] systemd[1]: wpa_supplicant.service: Service has no ExecStart=, ExecStop=, or SuccessAction=. Refusing.
[ 5.493879] systemd[1]: wpa_supplicant.service: Cannot add dependency job, ignoring: Unit wpa_supplicant.service has a bad unit file setting.
Qu’est-ce que tu veux que je te dise ?
Sur mes récentes installation je n’ai pas de souci … je n’utilise pas de ghex ou autre juste le bureau et j’ai pas tous t’es souci … je te laisse méditer à ça car j’utilise tout de même de façon intensive mon poste pour travailler.
J’en reviens à Os écrits par des pieds nicklés … tu crois que tu ferais mieux ? bah vas-y y a tous ce qu’il faut …
Je suis à la limite de me demander si ce n’est pas du troll.
Les commandes systemctl sont maintenant disponible depuis fort longtemps et documenté … Debian a basculé sur systemd, si ça te plait pas il y a des alternatives mais fais pas celui qui découvre et va tous faire changer en gueulant sur un forum.
Après LXDE franchement c’est pas commun et c’est clairement pas moi qui vais te guider dans sa configuration, mais de là à dire des trucs comme ça :
désolé de répondre tardivement mais hier fut une rude journée, j’avais commencé une réponse que je n’ai pu mener à bien.
Je reprends ce matin à la fraîche :
Ah mais moi aussi ! L’ancienne machine en Debian 7 est toujours là, vaillante et bon pied bon œil, c’est juste l’espace disque plein à bloc ou presque qui m’a poussé à migrer, plus l’obsolescence de certains logiciels.
Ceci étant dit, je ne comprends pas ta phrase « je n’utilise pas de ghex ou autre juste le bureau » car ghex est juste un bête éditeur hexa en mode graphique, un outil parmi des milliers, comme l’éditeur de texte léger (un bloc-note) leafpad (qu’on nous a supprimé dans D10 pour cause de… pas de mises à jour depuis longtemps, et plein de gens sur le web posent la question « mais pourquoi faire des mises à jour d’un outil parfait qui fait bien ce qu’il a à faire et basta ? ») par exemple, ou audacity ou Kdenlive ou gimp ou d’autres.
Et moi aussi j’utilise mes machines de façon intensive, quand elles sont opérationnelles.
Non, je ne ferais pas mieux et je n’ai pas le temps : regarde le temps que je passe à essayer d’avoir un OS qui tient la route et fait ce que je veux sans me rajouter un tas de truc et de machins dont je ne sais pas d’où ils sortent ni ce qu’ils font (on dirait du Windows…)
Mais non… C’est juste un mec anéanti par ce qu’il vit au quotidien et qui aimerait bien voir et savoir ce que les autres vivent aussi au quotidien, d’où les exemples et les lignes de commande ou les manips Synaptic (merci à dindoun, au passage – lire + bas)
Mais tellement peu mémorisables que si on n’a pas un carnet à côté, on est foutu.
Comment un machin pas fini pourrait plaire ? Quand je vois des lignes dans les logs avec code d'erreur: 'exit code', je me marre et en même temps je me dis que nous sommes mal barrés, très mal barrés si ça continue ainsi.
Quant aux alternatives, seront-elles pérennes ? C’est ça qui m’a fait peur, après en avoir testé plusieurs. J’ai aussi bien conscience que systemD va hélas dans le sens de l’histoire, exactement comme les bagnoles électriques vont dans le sens de l’écologie ! Tu permets que je rigole ?
Mais comment un truc aussi peu ergonomique a-t-il pu arriver là où il est dans les distros ? Qui a couché avec qui ? On ne nous dit pas tout.
Mais ce que je vois sur le web, en faisant des recherches sur mes problèmes, c’est qu’il y a pas mal de gens qui gueulent contre systemD ET contre PulseAudio (curieux, c’est le même auteur), en général en fournissant des articles documentés.
Pas de souci.
J’ai dit que cet outil était minable car on n’y comprend rien de chez rien, et qu’il n’y a pas d’aide interactive, donc on ne sait pas quoi faire face à l’ihm.
Je ferais bien des copies d’écran mais je ne veux pas abuser.
Merci pour ta commande, je l’ai effectuée mais en deux temps car la sortie de la liste fait chez moi plus de 300 lignes et j’ai oublié le nom des filtres, donc à l’ancienne :
$ systemctl disable exim4
exim4.service is not a native service, redirecting to systemd-sysv-install.
Executing: /lib/systemd/systemd-sysv-install disable exim4
$ systemctl list-unit-files > list_unit_files.log
$ cat list_unit_files.log | grep exim
exim4-base.service static -
exim4.service generated -
exim4-base.timer enabled enabled
On dirait un peu les misères que remonte également dindoun, que je remercie chaleureusement pour ses tests, qui montrent que ces machines ne sont plus aussi fiables que dans le bon vieux temps.
Dessus c’est des commandes d’hier. Ce matin, après PowerOn,
et oh! miracle, j’obtiens un affichage de 169 lignes gérées par un painateur à la mode less qui remplace bien le calepin à côté de l’ord, et qui se termine par
See the systemctl(1) man page for details.
Bon, c’est en anglais mais je ne pense pas que cela va vous rebuter
De plus, pas besoin d’utiliser sudo pour ce genre de truc, systemctl fait partie de ces commandes modernes qui sont conçues intelligemment pour une utilisation en CLI
Un esprit chagrin pourrait pointer du doit que le paginateur intégré n’utilise pas le mécanisme « alternate buffer » comme less et donc polluerait inutilement le tampon de défilement. Là, on irait loin dans le pinaillage
Voir ci-dessus (pour la partie CLI ) Vous pouvez aussi taper le début de la (sous-)commande systemctl et appuyer sur Tab pour compléter.
Vous combinez la création inutile d’un fichier et ce que les puristes appellent « useless use of cat » aka UUOC Tellement classique qu’on le trouve dans l’ancien forum
systemctl list-unit-files | fgrep wpa
Cordialement,
Regards,
Mit freundlichen Grüßen,
مع تحياتي الخالصة
F. Petitjean
Ingénieur civil du Génie Maritime.
« On ne perd pas son temps en aiguisant ses outils. »
Proverbe français
« Moi, lorsque je n’ai rien à dire, je veux qu’on le sache. » (R. Devos)
Oui, ça, ça fait 21 ans que je le pratique au quotidien, mais Tab, il en faut 2 pour arriver à systemctl ou alors il faut au moins saisir system et quand on en est là, terminer avec Tab ou ctl ça ne fait pas une grosse différence.
C’est vrai que je pourrais me créer un alias sc pour ces 9 lettres qui se mélangent souvent quand on essaie de taper vite, mais bon, le jeu n’en vaut pas la chandelle.
systemctl --help, après le premier ENTREE, selon la hauteur de la fenêtre du terminal, je vois lines 1-44 (ou 42 ou 48, peu importe), 1-44 mais sur combien ? Combien y a-t-il de lignes en attente des ENTREE suivants ? Bah, on ne sait pas, alors PAGE SUIVANTE jusqu’à la fin et là, ô miracle, lines 126-169/169 (END), good !, et PAGE PRECEDENTE conserve la vision totale, donc cool, mais pas bien pour ne pas l’avoir mis en place dès le début, donc produit pas fini.
Quant au man systemctl, j’ai tenté mais c’est juste tellement touffu et chargé que j’ai abandonné, j’avoue.
Ah ouais ? $ systemctl --help
fonctionne à peu près bien, on vient de le voir, mais
$ systemctl --list-unit-files
systemctl : option non reconnue '--list-unit-files'
Hé ouais, faut taper $ systemctl list-unit-files
sans les deux tirets et sans aucune uniformité avec --help, alors qu’il s’agit d’options similaires.
Alors savoir s’il faut mettre deux tirets ou pas selon l’option, moi, un outil comme ça je le jette.
Manque de bol il est totalement intégré au bazar, c’est navrant, et je ne peux donc pas le supprimer.
Franchement, ils auraient pu se décarcasser un peu plus, hein, car je ne peux pas mémoriser ce genre de cafouillage.
Non, ça ira, après 45 ans d’info, il y a même des fois où je me demande en quel langage était la doc que je viens de lire.
De mon côté, j’ai bien noté que si on me cherche des poux dans la tête (c’est de bonne guerre et ça fait fonctionner mes neurones, alors merci), le fait que les codes d’erreur non remontés que j’ai signalés ne choquent personne, et, tiens, j’ai découvert au tout début d’un service de PulseAudio, /usr/lib/systemd/user/pulseaudio.service pour être précis,
# We require pulseaudio.socket to be active before starting the daemon, because while it is
# possible to use the service without the socket, it is **not clear** why it would be desirable.
Les derniers mots, que j’ai essayé de mettre en gras, sont curieux, vous ne trouvez pas ?
Bon, allez, trêve de chamailleries, plusieurs choses :
en examinant mes logs, j’avais noté ces lignes :
janv. 12 08:58:23 debox64 systemd-xdg-autostart-generator[1168]: Exec binary 'wicd-gtk' does not exist: No such file or directory
janv. 12 08:58:23 debox64 systemd-xdg-autostart-generator[1168]: Not generating service for XDG autostart app-wicd\x2dtray-autostart.service, error parsing Exec= line: No such file or directory
janv. 12 08:58:23 debox64 systemd-xdg-autostart-generator[1168]: Exec binary '/usr/lib/geoclue-2.0/demos/agent' does not exist: No such file or directory
janv. 12 08:58:23 debox64 systemd-xdg-autostart-generator[1168]: Not generating service for XDG autostart app-geoclue\x2ddemo\x2dagent-autostart.service, error parsing Exec= line: No such file or directory
J’ai fouillé, pour le premier binaire wicd il est inconnu dans Synaptic, alors pourquoi est-il dans les logs ? Je ne sais pas, peut-être un reste de d10, du coup j’ai viré son entrée dans ~/.config/autostart et dans la foulée j’ai fait pareil pour geoclue, qui est connu de Synaptic mais pas installé, au reboot ils ne sont plus là, cool !
Ensuite j’ai découvert qu’en désactivant complètement at-spi et at-spi2 je n’avais plus rien sur le bureau, juste une image en fond d’écran c’est pas top pour travailler, j’en conclus que des morceaux d’at-spi sont profondément imbriqués dans le système, ce qui est assez moyen je trouve, et ça m’oblige à réactiver ces choses qui portent mal leur nom.
Pour finir, en bidouillant dans les fichiers .socket et .service de PulseAudio, je n’ai enfin plus l’icône HP barrée et j’ai donc du son au login, indication pour moi que tout va bien.
Donc tout va bien !
Plus qu’à faire le ménage dans les centaines de polices inutiles pour l’immense majorité des occidentaux qui viennent avec LibreOffice (des grands malades, ces gens – mais j’ai un script !) puis à installer les logiciels qui me seront nécessaires pour les années à venir et mon bonheur sera complet.
EDIT qui n’a rien à voir : je n’arrive pas à faire une espace insécable, alors désolé pour le point d’exclamation orphelin après « script », 2 lignes plus haut.
Enfin, chez moi.
Franchement t’aurais pas envie de tester une réinstallation de Debian en version minimal (juste la base fourni par netinstall sans aucun environnement de bureau) et installé ce dont t’a besoin ?
Tu doit trainer depuis le temps un fatras de truc dans ton système.
Je le répète systemd te file des boutons ? go sur un autre distribution, il existe du Debian sans systemd … ou bien bascule sur du BSD tu sera tranquille
Sur mon clavier avec la disposition Français (alternative) <=> le ² à gauche du 1
pour obtenir un caractère espace insécable, je fais Maj+Alt+Espace
Mais il n’est pas possible de mettre des caractères espace insécable dans les messages sur ce forum puisqu’ils sont automatiquement remplacés par des caractères espace
Déjà testé il y a qq années, et c’est prendre le problème à l’envers, en se retrouvant tout nu sans chemise et sans savoir par où commencer.
Surtout si en plus pour avoir juste writer et calc il faut que je me tape base, draw, le machin pour les powerpoint que je sais pas comment qu’il s’appelle, et les centaines de polices inutiles, au final ça va être la même pagaille, c’est comme ça maintenant.
Les fabricants de logiciels considèrent que les utilisateurs sont trop stupides pour savoir choisir ce dont ils ont besoin, alors ils leur collent tout comme ça ils sont tranquilles et en prime ça leur évite de coder un système de choix et de sélection.
Ceux qui sont marron sur ce coup-là c’est les power users.
Ben non puisqu’il est neuf, depuis 18 mois. Rappel : je me suis battu pendant des mois pour réussir à obtenir que systemd arrête de changer l’identification des disques et autres partitions, car ça, c’était pas possible à vivre – tu imagines faire une sauvegarde genre dd if=/dev/sda of=/dev/sdb quand messire systemd a inversé les noms et que donc la machine va faire dd if=/dev/sdb of=/dev/sda physiquement parlant ? Ou les sacs de nœud dans la tête en lançant gparted et en constatant que mon ssd a une capacité de 2 To quand mon premier disque de datas ne me propose plus que 256 Go ? Non mais allô quoi !
Et ça je l’ai vécu pendant des mois, le temps d’étudier les services, les fichiers .mount, les trucs, les machins, les nouvelles règles, bref l’enfer.
Et crois-moi qu’à part les màj gérées par unattended-update (ou grade, me souviens jamais), il n’y a rien eu de fait sur cette babasse.
J’en ai testé, comme déjà dit, mais j’ai peur de me retrouver un peu sur une île déserte, quand les logiciels seront écrits et compilés pour systemd, qui aura réussi à s’imposer puisqu’en général on ne fait pas machine arrière en info.
Donc je ne suis pas très chaud sur ce coup-là.
D’autant plus qu’en y regardant de près, une fois le bazar bien tuné et les boulons bien serrés, on peut jeter la clé de 14, non ? Y a plus à y revenir, plus besoin de mettre les mains dans le cambouis, ça devrait rouler tout seul avec le graphisme, le traitement de texte, bref les applis qui permettent de produire.
Quant à BSD, je crains de n’avoir plus le temps d’étudier un nouveau système et d’y être performant avant d’aller rejoindre mes ancêtres, donc je vais m’adapter à ce que je connais un peu (depuis 21 ans), après tout, même si les routes changent, on ne repasse pas son permis tous les ans, hein !
Ah, une dernière nouvelle de la machine et là, je suis très satisfait : elle boote en une poignée de secondes, que du bonheur ! (je lisais récemment je ne sais plus trop où [peut-être ici], des gens qui parlaient de démarrage en plus d’une minute, au secours !)
Startup finished in 5.390s (kernel) + 2.302s (userspace) = 7.693s
graphical.target reached after 2.294s in userspace
Moins de 10 secondes, yes !
Merci, dommage, ça fait désordre, typographiquement parlant et visuellement c’est pas glop. Bah…
Franchement, notre ami @jipete aurait pu apprendre à lire avant de parler de cafouillage. Il avait devant les yeux en faisant défiler l’historique du terminal de la commande
systemctl --help
qui précise bien que la syntaxe de base est bien (première ligne)
systemctl [OPTIONS...] COMMAND ...
et un peu plus loin
Unit File Commands:
list-unit-files [PATTERN...] List installed unit files
je suis obligé de dire un peu plus loin, car c’est le deuxième groupe de commandes, le premier groupe commençant par
Unit Commands:
list-units [PATTERN...] List units currently in memory
D’autre part, j’avais précisé que la magie de la touche Tab pouvait agir pour compléter
Je suggérais donc d’utiliser Tab après list ou list-uni ou …
C’est écit en toutes lettres et en Français, quand ça commence par -- c’est une option et ce qui est tapé n’est pas dans la liste des options. Comme on parle d’un mot de taille respectable (17 caractères)
je me permets de mettre en doute la bonne foi de notre ami @jipete
Ravi d’apprendre qu’être obligé d’appuyer une poignée de fois sur Espace pour voir tranquillement le contenu affiché est insupportable pour un cador comme @jipete qui veut savoir combien de lignes il peut lire Une solution bourrin :
Je suppose donc que vous avez connu les cartes perforées. Il y a 45 ans je tapais sur cartes perforées un programme de stabilité de navire après avarie.
La partie détermination de l’état final (basée sur la théorie de la carène perdue) était déjà opérationnelle, je travaillais sur la partie états intermédiaires d’envahissement, basée sur une méthode d’addition de poids d’eau embarquée Ceci faisait partie de la proposition française sur le sujet à l’organisation Maritime Internationale.
Oui mais pas professionnellement : je les ai vues lors d’une visite au Ministère de la Marine (hé ouais !) où œuvrait mon parrain en '71.
Subjugué par ces cartes avalées à toute allure par ces machines (de l’IBM je crois), c’est peut-être ça qui a déclenché ma vocation, allez savoir…
Et j’ai démarré quelques années + tard avec les floppies 8 pouces et les disques durs à plateau amovible de… 5 Mo, à l’époque ça suffisait.
Non, jipete n’est pas un cador, par contre il a les yeux très fatigués à force de faire en avant-en arrière dans les man et autres help-files, ces choses ne sont pas faites pour être lues, ce sont des références, pour y trouver un truc précis c’est l’abomination.
À une époque on disait small is beautiful, ben c’est pas faux, tout comme on a inventé puis oublié, dommage, le principe KISS.
Ça se passe dans /usr/lib/systemd/user/pulseaudio.service et dans /usr/lib/systemd/user/pulseaudio.socket, j’y ai remplacé !root par @system (l’arobase fait partie de la string et n’est pas le symbole d’une adresse internet ou autre), c’est au début. Je ne mets pas le diff, la machine se repose, et moi aussi dans pas longtemps.
Pourquoi ne pas plutôt utiliser les liens qui sont dans /dev/disk/by-uuid
Là au moins, même si le nom du fichier de périphérique change,
on peut être sûr que l’UUID du système de fichiers ciblé n’aura pas changé.
parce que je n’ai jamais vu un exemple sur le web les utiliser.
Et que quand on voit écrit /dev/sda, normalement, avant, on savait de quel disque on causait (mon vieux « Le système Linux » chez Oreilly ne parle que comme ça).
Tiens, j’en profite pour repasser ma combine sur ce coup-là : il faut recompiler un noyau en supprimant l’inclusion par modules des drivers des disques (c’est ce mécanisme, piloté par un processus parent qui fait en parallèle plein d’autres choses, qui fait qu’il arrivent dans un ordre aléatoire) pour privilégier un chargement statique, auquel cas les drivers sont toujours à la même place dans le binaire et à ce jour je n’ai plus eu de chargements aléatoires et farfelus.
Pourtant, dans les commentaires qui sont au tout début du fichier /etc/fstab
on peut lire :
Use ‹ blkid › to print the universally unique identifier for a
device; this may be used with UUID= as a more robust way to name devices
that works even if disks are added and removed. See fstab(5).
Et de toutes façons, quelle que soit le contenant du système de fichier c’est le système de fichiers que l’on veut sauvegarder, et c’est bien l’UUID de ce système de fichiers qui permet de l’identifier.
Que ce système de fichiers soit accessible par le réseau,
ou qu’il ait été créé dans une partition d’un disque ou dans un volume logique (LVM),
ou qu’il utilise une ou plusieurs partitions de un ou plusieurs disque montés en RAID
ou qu’il ait été créé en RAM
na pas vraiment d’importance puisque ce sont les fichiers qui sont dans ce système de fichiers que l’on veut sauvegarder.
À l’époképik où udevd n’existait pas encore,
je me souviens qu’on devait créer soit même dans le répertoire /dev/
chaque fichier de périphérique en utilisant la commande mknod
J’ai lu, j’y ai surtout noté : So UUID is not usable for identification of the physical disks used in RAID. donc méfiance pour ceux qui ont du raid.
Les autres pourront lire la tartine qui suit (j’ai repris mes vieilles notes) :
Admettons que l’uuid ça soit le bonheur et la solution à tous ces problèmes, mais c’est faire fi du retour de certaines commandes, que je propose à l’édification des foules ébahies :
df -h
Sys. de fichiers Taille Utilisé Dispo Uti% Monté sur
/dev/sdb1 192G 38G 144G 21% / FAUX
/dev/sda2 192G 5,0G 177G 3% /data_small FAUX
/dev/sda1 1,7T 241G 1,3T 16% /data_large FAUX
/dev/sdc1 1,7T 186G 1,4T 12% /dbck_large ok
/dev/sdc2 192G 47G 136G 26% /dbck_small ok
et lsblk, dont j’ai enlevé les lignes des partitions, pour alléger :
lsblk
NAME MAJ:MIN RM SIZE RO TYPE MOUNTPOINT
sda 8:0 0 1,8T 0 disk FAUX, c'est le 240 Gb
sdb 8:16 0 223,6G 0 disk FAUX, c'est un 1,8 Tb
sdc 8:32 0 1,8T 0 disk OK
Alors des scripts tournant avec les sorties de ces outils pour surveiller par exemple l’espace libre (plus alerte si atteinte d’un niveau trop bas), c’est la cata assurée.
Des mois j’ai passé là-dessus, et je peux certifier que j’ai utilisé les uuid’s suivant les conseils de fstab mais que ça n’a pas empêché les vautrages, genre cat /proc/partitions
quand tout va bien | quand c'est en vrac
major minor #blocks name |
8 0 234431064 sda | 8 0 1953514584 sda
8 1 204800000 sda1 | 8 1 1748713472 sda1
8 2 29627488 sda2 | 8 2 204800000 sda2
8 16 1953514584 sdb | 8 16 234431064 sdb
8 17 1748713472 sdb1 | 8 17 204800000 sdb1
8 18 204800000 sdb2 | 8 18 29627488 sdb2
avec la commande swaplabel /dev/sda2 :
quand tout va bien | quand c'est en vrac
LABEL: swap | swaplabel: /dev/sda2 : pas une partition d'échange valable
UUID: 272a029e-4d4a-40e2-a3b7-51bf1ac7b0d0 |
avec blkid -o list :
OK
device fs_type label mount point UUID
/dev/sda1 ext4 system / 99dc8d6c-8674-4c7d-b27f-7cd860bdd63f
/dev/sda2 swap swap [SWAP] 272a029e-4d4a-40e2-a3b7-51bf1ac7b0d0
/dev/sdb1 ext4 data /data 83452e91-8384-45c3-b2c7-4315904d03fa
/dev/sdb2 ext4 homerootvar (non monté) ca124013-9812-4eac-8e52-35560d5ac7f4
KC
device fs_type label mount point UUID
/dev/sda1 ext4 data /data 83452e91-8384-45c3-b2c7-4315904d03fa
/dev/sda2 ext4 homerootvar (non monté) ca124013-9812-4eac-8e52-35560d5ac7f4
/dev/sdb1 ext4 system / 99dc8d6c-8674-4c7d-b27f-7cd860bdd63f
/dev/sdb2 swap swap [SWAP] 272a029e-4d4a-40e2-a3b7-51bf1ac7b0d0
et des comme ça j’en ai des wagons, alors j’abrège.
Par ailleurs, quelques notes (parmi tant d’autres) prises au cours de mes pérégrinations sur le web :
And tbh, I have a potential similar hazard. I use CloneZilla, and if a program asks: Would you like to backup /dev/sda to /dev/sdb or /dev/sdb to /dev/sda ?, guess how nervous I get knowing that linux seems to randomly assign disk orders. I haven’t overwritten my data with my own backup yet, but this is just waiting to happen.
This device-numbering on Linux is one of the worst things about that OS. Every other reasonable*nix uses something like controller/target/lun for addressing disks.
I once solved that problem on my PC by changing the boot-device-order in the BIOS (put USB last).
I do not know if that will work in all situations, since Linux often does not care about BIOS-settings.
à propos de systemd :
This excellent question (and its answers) is an interesting example of how systemd violates the long-standing (and brilliant) design principles of Unix & Co… (most experienced users will just consider that complete bloat). I begin to see more clearly why Linus Torvalds is so vehemently critical of systemd.
et à propos de Linux, attention !, âmes sensibles s’abstenir ! OpenBSD — Wikipédia :
De Raadt déclarait ceci à propos du système d’exploitation GNU/Linux dans une interview au journal Forbes : « C’est terrible […] Tout le monde l’utilise, et ils ne réalisent pas à quel point il est mauvais. Et les utilisateurs de Linux s’en contenteront et l’étofferont plutôt que de prendre du recul et de dire « C’est n’importe quoi et nous devrions y remédier ». »
Bien sûr, si tu confonds : système de fichiers, disques, partitions, RAID, LVM, volume, etc.
tu seras toujours dans le flou en lisant ce genre de document (qui est d’ailleurs très bien fait)
Il faut déjà savoir de quel UUID il s’agit, comment il a été créé, qui l’a créé, et où il a été inscrit pour pouvoir comprendre que l’UUID d’un disque n’a rien à voir avec l’UUID d’un système de fichiers, qui n’a rien à voir avec l’UUID d’un volume RAID, etc.
Au secours !
Laissez-moi descendre ! ! !
Je voudrais juste avoir un système qui fonctionne bien, avec des sauvegardes aux petits oignons, et basta !, que je puisse enfin m’occuper de mes images, de mes sons et de mille autres choses bien plus passionnantes que l’étude des commandes systemd…
Est-ce qu’on demande au conducteur avant de passer à la pompe trois ans d’études niveau supérieur des constituants du carburant de sa voiture ?
Alors, pour avoir une installation minimale, tu peux toujours tenter un truc que j’adore pour ça : dans le fichier /etc/apt/apt.conf
APT::Install-Recommends false;
et apt ne va installer que les paquets strictement requis pour le fonctionnement de base.
J’ai utilisé cette option dans un cadre professionnel pour pouvoir installer des postes pour les utilisateurs afin de correspondre à un concept que j’aime beaucoup et qui s’appelle la méthode soustractive.