On a la société que l’ on mérite. Si l’ on met des incapables aux postes clefs, faut pas s’ attendre à des miracles.
La majorité des enseignants se battent avec les moyens dont ils disposent et souvent dans des conditions que bon nombre de citoyens n’ accepteraient pas.
Le problème ne vient pas réellement du système, mais bien de ceux qui en abusent, au détriment de ceux qui mériteraient réellement d’ être soutenus et qui ne le sont pas. Il y a ceux qui savent naviguer entre les ministères, disons le simplement " les carriéristes" et ceux qui par conscience professionnelle privilégient leurs élèves.
Si le système éducatif, public, mais quoi qu’ ils en disent, le privé est aussi concerné, est ce qu’ il est aujourd’ hui, c’ est un choix de société.
N’ oublions pas que nous sommes aujourd’ hui dans une société française ou l’ argent est malheureusement en train de devenir le maître étalon, à l’ Américaine, ou il ne faut surtout pas que les gens prennent conscience de la médiocrité de ce qu’ il leur est proposé, il faut vendre, il faut qu’ ils consomment, mais qu’ ils ne réfléchissent surtout pas.
L’ utilisation du libre est un premier pas vers justement cette prise de conscience, maintenant faut espérer qu’ avec le temps cette prise de conscience s’ accélère, mais vu la réaction des multinationales, c’ est pas demain la veille …
A la limite, on pourrait excuser les entreprises qui ne pourraient pas " vivre" si elles étaient incapables de vendre leurs produits et se demander " alors il est où le bin’ s ?".
Les sociétés se radicalisent, les citoyens ont la mémoire courte, le climat se réchauffe, etc … et tout l’ monde s’ en fout, j’ en passe et des meilleurs.
Pour appuyer mon propos, voir La bataille pour l’ Europe arte du 21.03.2017
De temps à autre, un lanceur d’ alerte nous réveille, et puis chacun retourne à ses petites habitudes …
La léthargie dans laquelle nous sommes plongés risque un jour de nous coûter très cher.
C’ est un choix de société !
On est po obligé d’ adhérer au modèle proposé, et pour ceux qui justement ne veulent pas s’ y conformer, il y a le libre.
" Faut s’ battre, on y croit, on y croit …"
C’ est pas facile tous les jours, loin de la, mais tant qu’ on à la foi …
Vive le libre, vive Linux …