Question sur la politique d'empaquetage Debian

Bonjour,

Pour lutter contre les méthodes d’enfermement de l’utilisateur d’Office par Microsoft, un des moyens de LibreOffice est de mettre à disposition des polices polyvalentes libres communes sur toutes les plateformes :

Ainsi LibreOffice 3.5 intègre les polices Liberation (comme substitut libre et métriquement équivalent à Times New Roman, Arial et Courier), LibreOffice 4.0 est livré avec quatre nouvelles familles de polices open-source : Open Sans (Ascender), PT Serif (ParaType), Source Code Pro et Source Sans Pro (Adobe), et LibreOffice 4.4 ajoute les polices libres Carlito et Caladea (comme substitut libre et métriquement équivalent à Calibri et Cambria de Microsoft)

Le paquet libreoffice actuellement dans stable/Jessie dépend de fonts-dejavu et fonts-sil-gentium-basic, et recommande fonts-liberation.

Mais fonts-crosextra-carlito et fonts-crosextra-caladea sont ignorés lors de l’installation.

Ce faisant, la politique de Debian contredit celle de LibreOffice (sans jugement de ma part : chaque projet pouvant avoir sa politique)

D’où ma question : cela s’explique t-il par une politique de Debian de limiter les dépendances ou par quelque autre politique ?

Merci de vos éclaircissements !

Tu peux les installer, il y a des paquets dédiés. Le découpage chez debian est plus fin, c’est tout.