Bonjour,
@dindoun, je pense que la pause café est une bonne place (si ton site tourne sous Debian… ou à défaut au moins sous Unix ou une autre distribution Linux)
Cela ne coûte rien que de demander conseil à son conseiller bancaire. Avec autant de solutions, il est important que les conseillers s’impliquent sans systématiquement proposer un service en devant acheter un pack de services. Si c’est pour une association ou une entreprise, ils ont obligatoirement une solution et l’expérience sur ce sujet. Hormis ces deux cas, prudence car mettre en place une solution de payement en ligne risque de s’apparenter alors à une activité commerciale avec tout ce que cela comporte derrière en matière fiscale (contrôle systématique et automatique à l’ère informatique) mais aussi au niveau employeur si tu es salarié. En effet si l’administration te classe dans la catégorie « activité commerciale » cela risque fort bien d’être incompatible avec l’exercice d’une activité salariée si tu as un patron ou te sucrer tes droits si tu es en recherche d’emploi. Tu l’auras compris je pense que le mieux est de prendre quelques heures de conseil juridique auprès d’un avocat, bien moins cher que des procédures mais cela reste un budget.
Attention par le terme intermédiaire: on entend tout et n’importe quoi à ce sujet et il convient de préciser cet élément. Quand j’achète en ligne sur A…n par exemple, ma banque joue le rôle d’intermédiaire avec le commerçant. Quand je fais une transaction bancaire avec ma banque pour l’achat d’un produit sur A…n, cette dernière est l’intermédiaire entre moi et ma banque mais de façon invisible pour moi (sauf au final ou je reçois un récépissé par A…z, notamment par email). Ca c’est pour faire simple car tu t’en doute, en matière de sécurité il y a de nombreux flux et donc aussi d’autres acteurs (intermédiaires) qui entrent en oeuvre.
Payer une entreprise intermédiaire réputée est un gage de sécurité, d’assurance. Bien évidemment les frais doivent être adaptés. Quand tu fais un achat par CB, le commerçant paye un % à sa banque du montant de la transaction.