Ben… Quand on utilise des données, on se renseigne sur la source, la méthode de collecte, la cohérence, entre autres.
De plus, on est là devant un cas unique où le politique a pris la main sur des décisions de santé, donc la donnée est devenue un outil de propagande. ce qui exige d’être plus prudent encore.
Surtout quand il y a un intérêt financier en plus.
Prenons au hasard John Hopkins, Université privée de second rang qui a obtenu une notoriété (bien utile quand on cherche du pognon) grâce à une page créée en janvier 2020 par un ingénieur et deux étudiants… chinois.
Un image vaut 10 000 mots, voici un rapport de ce jour sur des « données » depuis « le début »

A moins qu’il y ait un crétin dans la salle (et il sera compliqué de lui expliquer) la crédibilité de cette donnée est nulle. Donc il faudra au moins prendre ces données avec de pincettes…
Euromomo a au moins l’avantage d’avoir existé depuis 1984, d’être issue d’une collaboration entre pays et surtout d’avoir un indicateur très utile : la divergence entre le nombre de décès et la moyenne à 5 ans.
Là, en principe, ça évite les « erreurs » de diagnostic.
Maintenant quand on voit qu’Israël en était sorti pendant une semaine pour revenir avec des données très différentes, évidement on prend des pincettes (surtout que là on parle de données viennent exclusivement de 2 sources : l’unique labo concerné et le ministère qui a décidé de piquer).
Etc, etc, ad nauseam.
Donc il y a des indications, mais un monceau de « bruit » qui rendent souvent les données plus que problématiques.
Et bien sûr, quand aux effets des décisions d’achat ou d’interdiction massives de produits, on est dans le flou total (3 mois de recul pour voir des effets à 30 ans du traitement d’une maladie dont on découvre encore les effets…)
Pour l’autopsie, je parle bien de l’autopsie d’une personne décédée APRÈS inoculation et du lien entre ce décès et l’inoculation (Effet qui peut parfaitement prendre des années à se manifester…)
Eh bien juste, on en sait rien !!
Sinon, histoire de voir où on en est de la compréhension de ces produits expérimentaux !
INSERM :
l’injection est locale et les cellules qui reçoivent l’ARN codant pour la protéine Spike sont principalement les cellules musculaires : en aucun cas l’ARN ne va jusqu’aux cellules des organes reproducteurs (les gonades).
Moderna document de présentation
- les ARNm vaccinaux sont détectables dans : cerveau, coeur, poumon, yeux, testicules.
- Impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n’a été inclus dans l’étude de biodistribution
Pfizer document de présentation
- Les ARNm encapsulés dans les nanoparticules lipidiques atteignent : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau
- Les ARNm ont sont retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution
Ce qui est assez fou dans la période actuelle, outre que ce sont des politiques (non élus pour la plupart) qui prennent des « décisions de santé », c’est aussi qu’on balance tant de n’importe quoi avec aplomb (genre le bénéfice risque, sauf que le risque, personne ne le connaît)
Les techniciens en sont encore à découvrir les effets de la maladie…
Calculer un ratio avec un dénominateur inconnu, c’est fort !
Le fait que la techno soit étudiée depuis une dizaine d’années ne change rien au fait qu’elle n’ait jamais été mise en œuvre et qu’en plus (par définition) on ne connaît ce virus que depuis une grosse année.
En plus ce que d’aucuns appellent un « test grandeur nature » (PDG de Pfizer) n’en est pas du tout un (même les méthodos d’inoculation, de délais, d’age n’ont aucune cohérence)…
Donc oui, c’est révoltant de voir des gens tenter d’imposer une expérimentation, en particulier en remplacant d’un seul coup la médecine de ville et ses observations de terrain.
Encore plus de voir toutes les intimidations, manœuvres, incitations, forçage (de la bière à la prime en passant par le QRCode…
C’est de la politique, pas de la médecine.