Empreinte carbone de notre site préféré

C’est gentil, ne t’inquiète pas pour ça. Je te conseille de même pour éviter une référence unique d’information, dont le narratif est bien contrôlé. La science ne craint pas le débat et l’échange, bien au contraire, c’est son fondement.

Réponse trop simple et évidente pour être intéressante.
La température de toutes les planètes évoluent et évolueront , sans aucune influence humaine. Ce n’est pas une révolution industrielle qui est responsable des variations de température de la terre depuis sa naissance.
L’objectif actuellement est d’accuser tout le monde de tout, quelque-soit le sujet, pour des raisons bien connues. Le carbone a surtout été une affaire de milliardaires, et d’escrocs à la taxe carbone, des milliards qui s’évaporent de la poche du contribuable, pour en remplir d’autres bien informées.
Quant à ton intérêt sur les sources du suicide des jeunes qu’on terrorise sur tout, rapproche toi des psychologues qui sont débordés pour en savoir plus. Ta source sera la bonne.

Bravo, complotisme mis à part, Elisabeth tessier n’aurai pas mieux fait. :slight_smile:

Je sens qu’on va pas se mettre d’accord là. Chacun jugera (ou pas) de nos arguments.
Je te souhaite une bonne nuit.

Social c’est plus une conséquence. C’est un système économique qui ne veut pas montrer sa vrai réalité idéologique.

https://www.oxfamfrance.org/inegalites-et-justice-fiscale/les-1-pourcent-les-plus-riches/

Industriels qui sont tous dans les 1% les plus riches :slight_smile:

Financé uniquement par des entreprises. Et l’idée d’une éconocomie libérée de la contrainte carbone n’est qu’une utopie vue que notre vie est basée sur le carbone.

En fait, il y a une explosion ces dernières années de publications scientifiques « non contrôlées », non sérieuses, non validées et surtout non relues par les pairs. Il y a un article très intéressant sur le sujet dans le dernier science et vie.

Crise qui va mener à de nouvelles guerres (le capitalisme est une usine à guerre). Sans compter les pollutions qui vont en découler au regard de la médiocrité de la filière de recyclage des batteries.
Le bilan carbone d’une voiture électrique de sa fabriocation à son « recyclage » n’est meilleurs que celui d’une voiture à essence qu’au de plusieurs décennies d’utilisation. en clair la plupart du temps le bilan total n’est pas meilleurs du fait d’un certain nombre de critère.
Le scritères sont assez bien dit ici: Bilan Carbone d’une voiture électrique : mythes et réalité
mais il y en a d’autres.

Attention pluton n’est plus considéré comme une planète du système solaire mais une planète naine (et non un vulgaire planètoïde Pluton (planète naine) — Wikipédia.
cnes | Pluton n’a plus le statut de planète

Il y a une très forte dérive de la « méthode scientifique » justement, en particulier depuis le COVID.

Ça c’est une opinion pas un argument. Et le mot « complotisme » a été principalement utilisé pour renier les débats sur certains sujets (par exemple les effets secondaires des vaccins pour le COVID, certains aspects anormaux des attentats du world-trade center, pour les deux plus connus, mais il y en a plein d’autres).

Pour continuer dans la même veine que MPython_Alaplancha, je citerais ce grand philosphe du XXeme siècle, Coluche, dans son opuscule « Misère » : « Quand on pense… Qu’il suffirait que les gens ne les achètent plus pour que ça se vende pas ! »

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tiens, pour éviter les références uniques et bien controlées par les medias « mainstream »:

https://www.climato-realistes.fr/

un anonyme « 2 » qui parle de mainstream et envoie sur un site à la « tabacco method » :

tiré du site climato realistes :
les scientifiques nous mentent d’ailleurs c’est plus compliqué que ce que nous disent les médias
La preuve : le temps n’est pas le même partout sur terre; pire certaines températures sont au dessus de la moyenne et d’autres en dessous, alors si c’est pas une preuve qu’on nous ment :slight_smile: :slight_smile:

???

le capitalisme d’état, comme celui des gangsters reste un capitalisme: un moyen de domination par l’accumulation de richesse (d’où le dogme de la croissance «illimité») C’est le détournement de la fonction d’échange de l’argent par ceux qui «en veulent toujours plus», au même titre que tout autre moyen de domination. Mais le capital reste «le nerf de la guerre», c’est à dire de tous les autres moyens possibles de domination: la guerre, l’influence (propagande, idéologies, religions, presse et réseaux sociaux etc.) les structures étatiques (détournement ou affaiblissement des règles démocratiques ou dictatures monarchiques ou oligarchiques)

Il semble que l’origine du fonctionnement monétaire capitaliste date de la renaissance, particulièrement à Florence, Venise…
Les premiers banquiers capitalistes se sont d’abord appuyés sur le pape et les monarques du moment.


Désormais, ce sont les états qui ont besoins des banquiers, plus généralement de l’argent (un certain état du proche orient serait la première instance à blanchir l’argent de la drogue et autres trafics)

Mais le problème reste entier d’envisager comment d’en débarasser, c’est à dire quels contre-pouvoirs lui opposer efficacement?

Il me semble qu’il faudrait revenir aux fondements de l’idée démocratique, l’adapter au monde moderne, avec sa culture accessible à tous, avec des structures de pouvoir indépendantes (surtout de l’argent) et dignes de confiance, un monde bien utopique et loin de prendre cette voie.
Si la révolte populaire de 1789 a pu déboucher douloureusement, tant bien que mal, mais rapidement et efficacement sur la démocratie, c’est parcequ’en plus de la puissance populaire il y avait déjà 150 ans de révolution intellectuelle, humaniste, rationaliste qui reposait beaucoup sur des bourgeois et même des aristocrates, et notamment des femmes.
Rien à voir avec le remplacement d’un Tsar par un Staline et autres exemples Latino-américains ou africains, par exemple.
Une révolution anti-capitaliste est-elle possible si elle n’est pas mondiale? et mondiale semble impossible, surtout démocratiquement.

N’étaient pas. L’inde a toujours été capitaliste et pas du meilleur goût qui plus est. La chine est capitaliste à outrance, depuis que le monde entier y a mis ses productions. Quand à la Russie, elle est capitaliste depuis que Boris l’éponge a pris le pouvoir.

Et tous les exemple que tu cites ne sont que les méfait du capitalisme. Le capîtalisme qu’il faut bien comprendre comme un système, et non un état de fait est mortifère car il se base en tout premier lieux sur des dogme irréalistes: la croissance infinie, et des ressources non finies pour soutenir cette croissance. Les deux sont faux.
Nous vivons dans un univers infini mais avec des ressources finies; c’est encore plus vrai à l’échelle de la terre.
Le recyclage n’étant lui aussi qu’une faste farce, celui-ci n’(arrive même pas à freiner le massacre.

Alors parles-en avec des Suisse et tu verras que ta vision est quelque peu idyllique de ce qu’est la réalité Suisse (mon gendre est suisse et si le suisse à un impact plus important que le français, ça reste très minoritaire en fait, et c’est devenu très galvaudé).

Modèle qui ne marche plus avec l’augmentation de la population.

3 ans pour faire un vote? c’est irréaliste (car en plus faudrait-il un système postal fiable, et La poste ne l’est pas).

Désolé c’est aussi i diot que de n’avoir qu’un seul qui décide.
Regarde déjà le résultats des générations de l’enfant roi.
Quand au peuple souverain, ca a déjà eu lieu partiellement en France, c’était pendant la Terreur. Et ça n’a pas été brillant.

Tout système électif par définition est anti-démocratique.

En plus tout le monde ne veut pas s’impliquer. Tout le monde n’en a pas les moyens intellectuels non plus (et oui, intellectuellement les humains ne sont pas égaux).

Et c’est quoi d’ailleurs? Par que la démocratie, tout le monde en parle, mais personne ne sait vraiment ce que c’est; tout le monde en a sa propre idée, mais il n’y a pas définition, et ne me chie pas sur la table le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».
On a plus de chance de se prendre une météorite faiseuse d’extinction.

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Ce qui est interessant, c’est de voir ce qui se passe quand on essaye de briser une démocratie et de voir les points communs.
Je dirais que la première chose est la séparation nette des pouvoirs: Législatif, Executif, Judiciaire, Armée, Information (Presse) et Policier. Une deuxième est d’avoir des instances représentatives ayant également un pouvoir de controle et d’opposition.
On voit bien que la première chose que cherche à faire un élève dictateur est de controler le pouvoir judiciaire (En ce moment ça se passe aux USA, en Hongrie, Israel, Argentine, Afrique du Sud, Turquie et même en France, Sarkozy voulait supprimer les juges d’instruction, seuls juges ne dépendant pas du ministère donc dont la carruère est indépendante du pouvoir). La deuxième chose que cherche à faire l’apprenti est de réunir le législatif et l’executif (lui c’est l’executif), ça passe souvent par une assemblée-chambre d’enregistrement comme c’est le cas désormais aux USA, en Argentine, en Hongrie, … Le controle de de la presse est un but à atteindre (voir par exemple la tentative de Trump de bloquer l’accès à certains journalistes, mais bien sur voir la Turquie, Israel, Argentine, Hongrie, …). Le pouvoir Policier (armée inclus) est soumis à l’executif donc lui ne pose pas de soucis. Ensuite vient la suppression ou le controle des instances représentatives (syndicats).
Le souci en France (mais c’est un avis personnel) est la faiblesse du pouvoir législatif face à l’executif (ça c’était voulu par De Gaulle) avec un gouvernement qui peut passer outre le parlement (49-3) ce qui discrédite le parlement d’ailleurs, et la faiblesse des syndicats. En revanche ce qui fonctionne bien, c’est le système judiciairemalgré des moyens en baisse.
Tout cela est parfaitement illustré par ce qui se passe aux USA et en Israel. Dans les deux cas, le pouvoir judiciaire est l’obstacle le plusimportant pour notre apprenti dictateur.
La représentation par un parlement pose un problème car il est très dur d’être pointu sur tout, on réduit souvent le travail d’un parlementaire à sa présence à l’assemblée, alors que l’essentiel du travail et la partie la plus importante est en commission où là, il y a des spécialistes du domaine abordé, c’est comme dire que le travail n’un prof n’est pas lorsqu’il fait son cours mais avant. La représentation nécessite l’écoute faute de quoi on discrédite le système. La mise à l’écart des syndicats en France a démobilisé les travailleurs et a mis en avant des gens dont la seule qualité est d’avoir une grande gueule de même que le recours abusif au 49-3 a discrédité les parlementaires.

Pour terminer, tant que j’y suis je dirais que à mes yeux le système de vote le moins pire est celui consistant à demander à chaque personne de classer les candidats, tous sans exception, et sans ex aequo. À la fin on ajoute les classements pour chaque candidats et le total le plus faible est élu. On montre qu’il n’existe aucun système de vote parfait.

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Les trois sont des pays capitalistes, seule l’Inde est encore une démocratie (en train de se transformer doucement en dictature cependant).

Pour revenir au titre du fil, j’ai tendance à me méfier de ce genre de calcul, qui a tendance selon moi à additionner des stocks et des flux. C’est comme ça qu’on affirme que la fabrication d’un processeur consomme une quantité ahurissante de flotte, alors qu’il s’agit de prélèvement (qui retourne au cycle de l’eau) et non de consommation (qui n’y retourne pas).

Nous vivons dans un univers infini mais avec des ressources finies . . .

C’est contradictoire

L’énergie solaire est pour nous quasi infinie (en durée).

C’est évident pour la croissance fondée sur le pillage des ressources non-renouvelables et l’altération de notre écosystème global.
Mais ne pourrait-on envisager une croissance fondée sur la qualité des relations et des services? Toujours pas, car le problème de fond reste alors que l’idée même de croissance n’est que celle de la compétition: ceux qui sont en croissance le sont alors aux dépens des autres. Le système financier actuel en est l’exemple caricatural, particulièrement choquant en période de pandémie du COVID, où les plus grosses fortunes ont doublé pendant que la base s’est considérablement appauvrie (notamment par l’accélération de la destruction de leur principale richesse, les services publics (l’idéal républicain d’un partage de l’essentiel)

Dans le cadre libéral, sinon l’idée de récupérer les métaux rares, de recycler le papier, les métaux etc. dans un système qui produirait moins de déchets reste à repenser (dans les 30 glorieuses des petits-métiers récupéraient les métaux (les ferrailleurs), les vieux textiles (non synthétiques, et même les peaux de lapin.)
Les 30 glorieuses alliaient mieux que maintenant la répartition des richesses et la qualité des services publics (Jean Gabin, faussaire, confiait ses plaques de faux-billets à la poste, car c’était le service en qui on pouvait avoir confiance le plus surement !), les trains partaient tous, ils partaient à l’heure et arrivaient à l’heure… les étudiants qui étudiaient avaient des bourses après avoir pu bénéficier d’un enseignement et d’un vrai BAC, un BAC qui ne les trompait pas sur leurs aptitudes à poursuivre efficacement des études…

99% d’accord (1% pas d’accord: il existe une solution tierce, celle qui établi des contre-pouvoirs indépendants, à chaque fois qu’un nouveau pouvoir émerge sans limites.)
99% d’accord car «le peuple» est un concept fourre-tout, flou et qui peut mettre faussement d’accord.

Méfions nous (oui, moi aussi!) des formules à l’emporte-pièce, parfois de faux-amis, surtout lu par d’autres qui ont eux aussi leurs formules, habitudes de pensées, préjugés souvent utiles «pour avancer», mais qui peuvent vite virer aux slogans, (machines aussi utile à faire réfléchir qu’à figer toute réflexion)

pas vraiment personne…

Mais les fondateurs, les héritiers de l’humanisme à partir du XVIIIe siècle en avait plus qu’une idée: un idéal et un programme.

La démocratie, c’est le pire système politique, à l’exception de tous les autres… je crois que c’est Churchill qui disait à peu près cela.

Mais elle nécessite les vertus correspondantes, peu compatibles avec le «chacun pour soi» et la glorification des ego, qui mènent à l’acclamation des tyrans, et à s’accommoder d’hyper consommation, et de l’extension des limites grâce au développement technique jusqu’à quasiment l’infini, d’abord de ceux qui détiennent les pouvoirs . Or l’absence de limites, c’est exactement ce qui défini la folie, la déraison. La raison ne s’oppose pas nécessairement aux passions affectives, mais elle les contrôle, les canalise et surtout les fond vivre à travers la culture. reste à choisir la culture, et pour ça la qualité de l’éducation et des enseignements ou apprentissage en est une clé essentielle, la première de toute (la seconde est celle de la santé mentale qui doit parfois l’accompagner - non s’y substituer.)

Enfin aucun avantage de la démocratie si ce n’est pour défendre l’idée de république, d’espace, de services et de biens publics et non de concessions aux capitaux de nos bien dés lors qu’ils sont rentables (Autoroutes, santé, etc. Car c’est là le vrai nœud du déficit financier des états dans les «pays les plus riches»!

Bref, qui se guide aujourd’hui sur ces «vertus républicaines», qui même s’en soucie, qui encore les connaît?

Comme vous ici, écrit sous le feu de la passion d’un moment… mais bien cordialement à tous.

Qui aurait pu me dire il y a 40 ans, que le Montesquieu qui servait de prétexte à la droite dominante de l’époque, serait appelé aujourd’hui à la rescousse de ce qu’il reste d’une pensée de gauche (de justice) actuellement?

https://shs.cairn.info/revue-humanisme-2016-2-page-37?lang=fr

Imagine un ballon donc l’enveloppe est la ressource finie, mais que tu gonfles à l’infini. Pour la physique c’est une réalité.

C’est une erreur de le voir sous cette façon. C’est un dogme, donc il n’est fondé sur rien. C’est la définition d’un dogme.
Et considérer le monde en termes de croissance, quelque soit la façon dont on la regarde c’est mettre de l’eau dans le moulin du capitalisme.

La croissance est une arnaque, un leurre, quelque soit sa définition économique.

Dans tout système une croissance à un endroit implique une décroissance ailleurs; c’est l’entropie. DOnc faire de la gestion du monde une gestion de la croissance, c’est baiser le plus grand nombre au profit de quelques uns, quelque soit la méthode.
Quand à la compétition, c’est juste une conséquence.
Et le système financier actuel n’est pas une caricature, c’est une réalité. Et c’est choquant dans toute son existence, pas seulement avec le COVID.
Il faut arrêter de minimiser les faits ou de les excuser par un soit disant environnement qui aurait contribuer à je ne sais quoi.
Et non, les services publics ne sont pas une richesse, mais un service comme son nom l’indique. Il ne faut pas tout mélanger.
Les 30 glorieuse se sont batis sur les immigrés traités comme rien et sur le colonialisme0(qui perdure toujours). La seule survit de ces gens était lié à ce « recyclage ». Là aussi une arnaque sur le dos des plus pauvres. Le recyclage en question c’était de la survie pas de l’écologie.

Le « avant c’était mieux » cache souvent la merde qui est sous le tapis.

Un contre-pouvoir n’est jamais indépendant. Qui nous gardera de nos gardiens pour paraphraser Juvénal.

L’humanisme c’est Pétrarque au XVIème siècle.

Quand au lien entre Démocratie et République: Rome était une dictature Républicaine, comme Franco, et comme la Chine de Mao et j’en passe.

Quand à « vertues républicaines », encore faudrait il définir vertue; et là on se marre, car il se trouve que la vertu est une définition qui change avec le corpus social auquel on se réfère (lire Emile Durkheim sur le sujet).

Non, les idéologies soutenant sans conditions les capitalistes sont en cause, elle ne sont pas de détruire la planète mais de gagner toujours plus, puis plus que le voisin. Le pillage en est à mon avis, la conséquence, conséquence de ces désirs et des lois (dites libérales, notamment) qui en permettent la réalisation sans contrôle efficace (face à la destruction).

Qui sont à votre avis les Pétrarques du XXIe siècle,?
Car c’est bien des choix de société actuels et à venir dont on doit aujourd’hui se préoccuper, les valeurs (autres que d’abord économiques) qui peuvent être partagées, et en conséquence effectivement définir les «vertus» nécessaires à partager pour quel espoir. Autrement dit, en pratique, quelle éducation doit-on donner aux enfants pour leur apprendre à mieux vivre et mieux se comporter afin de participer au mieux à ces choix de société (par exemple: la loi du plus fort et du plus «méritant» (qui décide et de quel mérite?) ou la loi la plus juste et la plus équitable possible, solidaire et protectrice avec les faibles, les malades, les handicapés, les vieux etc.)
Le monde de liberté à la Trump (plus de limite!) est la prison sur mesure des puissants (Tyrans politiques et Oligarques super-milliardaires) C’est pourtant celle qui séduit de plus en plus les consommateurs jaloux du chacun pour soi. Les consommateurs insatiables que nous sommes majoritairement devenus ne sont plus des citoyens responsables du bine commun, et sont donc en train de le perdre, la liberté en premier.

Le capitalisme est une idéologie.
Et c’est le capitalisme qui est responsable de la compétition et pas le contraire.
Toute sles lois ne sont pas libérales. Le liberalisme justement considère qu’il ne devrait pas y avoir de loi, car ils considèrent que tout s’autorégule. Ce qi est faux.

Oublions les vertues et restons sur les valeurs.

Qui n’est pas justement un monde liberté, sinon les DOGE ne seraient pas utiles.

Quand à la notion de consommateur, elle n’intervient pas en réalité; car on est toujours consommateur à moins d’"être entièrement autarcique.
Horfs l’autarcie n’est pas possible avec une société de la complexité de la notre; à moins de revenir à l’époque des gaulois et encore.

C’est bizarre ce post quand même …;
C’est quoi l’idée ? l’intérêt ? J’ai juste survolé ce matin sur mon téléphone, d’où quelques interrogations.
Sans revenir sur le rôle des « riches » dans la pollution de la planète, mais … empreinte carbonne ? ça veut dire quoi exactement ? juste faire cupbaliser ?
186g cette page ? post 58, ça fait 58x186 ? allez 5 Kg …
Encore plus que 186g pour moi qui l’écrit que pour toi qui le lit ?
100g ? la page ?
Combien l’ordi qu’on utilise ? le réseau et l’infrastructure ? et la clope que je suis entrain de fumer ?
Le chat vient de péter … sale bête ! de combien elle a pollué sans s’en rendre compte ? Y’a un cheval sur le terrain aussi, j’ose pas imaginer ce que vaut un prout de cheval en pages internet …
Maaah, je suis mauvaise langue. C’est très bien je trouve de se soucier de ce qu’on engendre par nos actes, mais est-ce vraiment en faisant pipi sous la douche qu’on changera ce qui arrive ?
Moi, je prend pas une douche chaque fois que je fais pipi …
:slight_smile:

Pour le reste, chacun est juste mais pour ce point précis c’est faux. En moyenne les lycéens d’aujourd’hui sont nettement plus éduqués que ceux des années 70. Le véritable saut s’est fait entre les années 1990 jusqu’aux années 2000-2005. Après c’est vrai que ça a stagné. Cela se traduit notamment par la capacité d’adaptation du travailleur Français (6 mois en moyenne pour changer de domaine) nettement supérieure par exemple à celle d’un travailleur Allemand (2ans en moyenne). Parce que leds gens ont été lycéens, ils projettent beaucoup ce qu’ils ont vu sur la situation actuelle, en ne voyant que des dégradations et en idéalisant ce qu’ils ont vécu. En 1978, seul 16% des élèves allaient au Bac, les élèves étaient nuls en langues, avaient une vision purement factuelle et sans reflexion sur l’histoire. Leur point fort était les maths modernes pour ceux qui étaient en filière scientifique (ce qui a par ailleurs écoeuré le reste des élèves et a fabriqué une génération persaudée en grande partie que les maths consistaient à mettre des flèches sur des points et ne servaient à rien. On en paye encore le prix. Les élèves ont particulièrement augmenté leur niveau en langue (contrairement à ce qu’on lit partout, le jeune Français est bon à l’oral mais son écrit est à revoir).

Des choses factuelles sont vraies: les jeunes sont moins bons en calcul (ce qui est grave est qu’ils manipulent mal les ordres de grandeur) et en orthographe (ce dont on se fout, ça n’est pas parce qu’on en a bavé étant jeunes sur cette foutue orthographe qu’il faut dire que c’est important, que ça donne le sens de l’effort (pourquoi ne pas soulever 1000 fois 10 kgs par jour) et que c’est indispensable parce que sinon on ne comprends pas de rares phrases idiotes. L’orthographe est l’intelligence de l’imbécile, voilà il fallait que je le dise). Ce qui est surtout vrai est que dans les 30 glorieuses, on travaillait en classe pour avoir un métier intéressant et donner un sens à sa vie. Aujourd’hui on dit aux jeunes de travailler en classe pour survivre et ne pas finir dans la médiocrité et la misère. Ça change considérablement de point de vue et donne des conseils de classe de secondes où les jeunes pleurent sur un trimestre raté au lieu de juste essayer de faire mieux le coup d’après comme c’était en 1970, ça donne bcp d’étudiants, dont MES étudiants, qui après avoir brillamment réussi dans des écoles presitgieuses (Centrale, X, etc) finissent par se dire assis devant une feuille excel dans un bureau d’un immeuble «Tout ça pour ça!» et à tout arrêter, ça donne des élèves qui en échec depuis la 3ième sont convaincu d’être des moins que nuls et hésitent à dire qu’ils sauront agrapher une feuille sur un mur parce qu’ils n’ont sont pas sur (authentique), bref ça donne des jeunes qui ont une vie infiniment plus dure que celle que l’on a eu.

Ça n’est pas le BAC qui les trompe sur leurs aptitudes, c’est nous (les vieux) qui exigent d’eux de tout faire, tout savoir sans leur laisser le temps de comprendre et de rêver. Pendant les 30 glorieuses, on avait rien à perdre et tout à gagner, eux ont tout à perdre et rien à gagner.

Ça ne donne pas une définition. Comme jel’ai dit plus haut, il est plus facile de dire ce que la démocratie nécessite et quand elle est en danger.

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je suis de la génération des baby-boomers
une image vaut mille mots …
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