J’ai bien précisé deux fois que je ne défendais pas Dieudonné et que, par là, je ne voulais pas entrer dans la polémique de l’antisémitisme, que je combat, pour le moins autant que tous.
J’ai été forcé de le citer car il s’agissait d’un procès le concernant
MAIS
mon étonnement porte exclusivement sur cette portion de réquisitoire, qui va à l’encontre de ce qui avait été avancé à la suite le l’affaire “Charlie”.
J’avais cru lire, mais ptet m’étais-je fourvoyé, qu’il n’y avait pas de limites en matière de liberté d’expression (en France), au moins pour ce qui concernait les caricatures dites humoristiques.
Il s’agissait donc d’une erreur de ma part puisque cette honorable magistrate parle de
[mono]…limites à la liberté d’expression en France…[/mono]
@ François :
C’est tout à fait mon avis
J’ai, moi aussi, été choqué par ces deux affaires qui ont un léger relent de dictature.
@ Pascal :
Ça je sais, et encore une fois, Dieudonné n’est cité que parce qu’il s’agit de son procès, mais mon propos ne met en cause que cette phrase de la procureure concernant la liberté d’expression.
J’ai édité mon premier message dans ce sens.
@ Sv0t :
Même réponse que dessus, je ne parle pas du procès de Dieudonné
@ Avram :
Toujours même réponse : Il n’est pas ici question de juger ce qui est entrain de l’être et l’affaire Dieudonné n’est que le support de mon intervention et non l’essence.
[mono]Les caricaturistes de Charlie n’ont jamais incités au mépris de quiconque,[/mono]
Par contre là, je ne peux pas te suivre.
Les dessinateurs humoristiques sont, eux aussi, visés par la phrase prononcée par cette éminente magistrate.
Shalom à toi aussi