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Logiciels libres et gratuits sur la sellette
Un enjeu majeur de cette labellisation est le sort réservé aux logiciels gratuits de type Avast! ou AVG. Ces antivirus sont très populaires en France, mais le gouvernement pourrait décider de privilégier les suites de sécurité payantes, comme Norton, McAfee ou G-Data, dont la fiabilité semble (souvent à tort) plus grande. Dans la même optique, les logiciels libres pourraient, eux aussi, être exclus. De telles solutions de sécurité, dont la mise à jour n’est pas garantie par une entreprise, mais par une communauté de développeurs souvent bénévoles, ne sont pas vraiment adaptées à un cahier des charges comme celui de l’Hadopi. Et ce, bien que les logiciels libres soient souvent plus fiables et plus réactifs, face aux failles de sécurité… Évidemment, le gouvernement a promis de ne rejeter ni les logiciels libres ni les logiciels gratuits, mais le cahier des charges pourrait exclure de fait.
C’est pour cela que Merdosoft avec sa brigade de norton et saloperies sont pas encore capable aujourd’hui d’assurer la sécurité de leurs pigeons pardon clients.
On parie que beaucoup de pirates auront comme “de par hasard” un système libre…